Google est l’une des plus grandes entreprises technologiques existanteset quelque chose qui caractérise la marque est que son activité ne se limite pas seulement au moteur de recherche Internet, mais qu’elle dispose également de nombreuses autres plateformes et services disponibles en Espagne. Certains d’entre eux sont YouTube ou Google Docs, et ils peuvent être d’une grande aide pour de nombreux utilisateurs.
Cependant, l’entreprise, qui vient de présenter la neuvième génération de ses téléphones mobiles Google Pixel, avec une autre série de nouveautés liées aux Gemini, pourrait désormais devoir faire face à une décision de justice difficile. Et elle est sous le feu des projecteurs après quelques procès qui ont été intentés contre l’entreprise, assurant qu’elle dispose d’un position monopolistique sur le marché.
Maintenant, le tribunal qui a jugé ce fait pourrait être en train d’évaluer quelle mesure prendre contre l’entreprise, et l’une d’elles pourrait être de devoir séparer Android et Chrome dans deux entreprises différentes pour assurer qu’ils ne confèrent pas à Google une position privilégiée sur le marché des moteurs de recherche.
En attente de décision
Récemment, le ministère américain de la Justice s’est prononcé contre Google dans un procès portant sur le paiement de assurer la présence de votre moteur de recherche sur certains appareilsce que l’entreprise aurait fait avec les navigateurs, les opérateurs et les fabricants pour garantir la présence de son moteur de recherche.
Après la décision du juge contre Google, le moment est venu pour lui de prendre une décision pour éviter la situation monopolistique et privilégiée dans laquelle se trouve l’entreprise américaine, selon le tribunal. Une des actions qui pourraient être valorisées, selon New York Timesserait celui de séparer Android et Chrome du moteur de recherche en différentes sociétés. Sans aucun doute l’une des mesures les plus drastiques qui puissent être mises en œuvre.
D’un autre côté, ce serait aussi envisager d’interdire ce type d’accords d’exclusivité grâce auquel certaines entreprises parviennent à introduire leurs logiciels par défaut sur les appareils d’autres marques sans tenir compte de l’avis de l’utilisateur. Forcer également Google à mettre ses données à disposition de ses concurrents.
Pour l’instant, aucune décision ferme n’a été prise et le débat sur les mesures à prendre n’en est qu’à ses débuts. Le président du tribunal, Amit P. Mehta, a demandé au ministère de la Justice et à Google de présenter une solution avant le 4 septembre. Il reste donc un peu moins d’un mois pour enfin savoir quelle mesure sera imposée à Google.